Outre un pingouin suisse si célèbre que l’éternellement bronzé David Hasselhoff lui a dédié un rap (Pingu Dance), Pingu c’est aussi le symbole de toute publication de littérature de l’imaginaire chez les auteurs suisses romands.
Chaque texte publié oblige en effet son auteur à offrir la tournée de glace “pingu” (ou, sur demande spéciale, “donald”) lors des rituels Mercredis de la SF de Lausanne et Genève. La rançon de la gloire (surtout pour les autres).
Si on exclut mon essai sur les réalités virtuelles dans l’ex-feu-Galaxie (n° 40) et qu’on compte, comme les vrais informaticiens, depuis zéro, Salon de nuit serait mon Pingu #0.
Et De chair et de vent, publié dans Lunatique 78-79 (avril 2008), mon Pingu #1. Une nouvelle de fantastique, une fois n’est pas coutume, qui déchaîne un peu de merveilleux sur Lausanne pendant une nuit d’orage…
Il faudra que je détermine exactement l’état des droits d’auteurs et de publication sur mon texte avant de le reproduire ici. En attendant, vous pouvez toujours vous procurer le copieux volume sur le site des éditions Eons.
L’aventure ne fait que commencer!